La ville...

par **Sayianel** Mer 23 Fév - 23:09

Le matin... 7 heures les rayons du soleil pénètre ma tente par des trous béants...
Je me lève doucement, mon sac de provision a été vidé. Heureusement, mon P90 et mes munitions sont là, a porté de mains...
Je sort de la tente, une quinzaine de personne est là a creuser une tranchée autour du campement et des quelques murailles présentes. Je monte a une tour de guet et scrute l'horizon, je vois des formes bouger... Je regarde le camp et là stupeur... Un homme est pendu, se balançant ici au grès du vent...
Je descend rejoindre 2 hommes qui ont des armes a pile et des rations d'eau et de nourriture
- Vous allez ou ?
- En expédition, tu viens ?
- Heu.. Ok'ay

J'ai le droit a une ration d'eau par jours si je sort, lors de la sortie les " ouvriers " me regardent vert de jalousie, ils n'ont droit qu'a une ration tout les 2 jours...
On se dirige vers les silhouette que j'ai vu plus tôt, je commence a héler les hommes qui se tiennent là, pas de réponse.. Quoique si de mes 2 accompagnateurs
- Ferme là !!
- Pourquoi sa ? Plus on est mieux sa sera !
- Abruti c'est des zombis !
- Ha... Ok'ay

Depuis ce jours là j'ai plus jamais parlé en éxpé... Sauf la fois ou l'escorteur s'est coupé a la main, l'infection peut être chopé par des objets...
On as passé la journée a trouver des produits pharmaceutiques et ce genre de choses, rien de bien utile a première vue. On as pris des tréteau aussi, sa servira a consolider les défenses et au pire avec 2 / 3 planches a nous faire des petits obstacles pour ralentir les zombis qui passeraient. Ensuite les dégommer est assez facile.

Déjà le soir... On se dirige vite vers la ville. Et là on est dégouté de ce qu'on voit, l'un des ouvriers en as eu marre de pas pouvoir boire tout les jours, il as pris des planches et a fait un genre d'abris de jardin et y a mis différents objets utiles... Sa a été vite réglé. On l'as banni a mains levé, ensuite puisqu'il ouvrait pas on as enfumé son taudis avant de l'enfoncer a plusieurs... Il as rien compris quand on l'as foutu a la potence... Il était assez jeune, l'air rebelle et pas travailleur, le genre " antisocial " mais bon voilà.

Le lendemain s'est mal passé... Tout le monde s'engueulait a mon réveil a propos des rations et de qui est le plus important... J'ai pris mon P90 et j'ai tiré en l'air et a leurs pieds, les ouvriers sont retournés mettre des pieux dans les fossés pendant que les expéditionnaires sont sortis. Le soir c'était tendu mais bon on s'y attendait... Ce jour là tout le monde a bu pour contenter tout le monde.

Par contre a minuit... Je suis allé me poser dans ma tente attendre l'attaque de minuit, a minuit pile j'ai attendu les premier coups sur les tôles et les cris mais rien... Au bout de trente seconde j'ai entendu des cris, sa y est sa viens aux portes...
- ALERTE !!! LES ZOMBIS SONT PASSES, UN OUVRIER A OUVERT !!!
- Et merde !

Sa va que le chef des chantier et celui des expéditions ne s'engueulent pas... Le chef des chantiers a donné des armes a tous tandis que le chef des expéditionnaire nous plaçais face a la porte, moi j'avais déjà mon arme et sa nous as évité des perte. Dès la sortie de la tente j'ai tiré 5 balles dans la tête d'un zombi qui poursuivait LaTraitriseMonAme, un mec sympa quand on le connait, j'ai direct été me placer derrière le tréteau face à la porte. Chaque zombis était abattu en quelques seconde, on rigolais pas mal. On pensait en avoir fini, on était 36 devant la porte, 2 d'entres nous étaient restés derrière pour fouiller le camp... On aurait pas du.
- A l'aide !
- A la potence !

Hé oué... Notre pendu avait été mordu, même mort il s'est transformé... On as retrouvé un bras a la potence, du sang se trainait jusqu'à notre " banque " là ou on pose tout, j'ai ouvert la porte pour trouver un cadavre et des habits bleu en lambeau...
- Je l'ai !

Le charognard était là, pris dans les fils qui tendait la tente d'un ouvrier, On as tous chopé des pierres et on lui as jeté jusqu'à ce qu'on soit défoulé...

On as nettoyé sa de suite et on as balancé les cadavres dans les fossés... On sortira pas de suite demain... On va aller dormir.